Partie 3

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et à télécharger les éléments ci-dessous

Bonus :

Notre interview d’Isabelle Filliozat
NON ! Les interdits, frustrations et limites ne donnent pas un sentiment sécurité à l’enfant

La suite de cet interview :
Faut-il poser des limites, ou pas ?

La Fiche Outil « L’inconvénient des punitions – par Isabelle Filliozat »


Pour aller plus loin :

Si vous souhaitez aller plus loin, n’hésitez pas à découvrir le Programme d’Accompagnement complet « La Parentalité Positive, par Isabelle Filiozat et les Supers Parents » et à télécharger le plan détaillé des 6 modules (format PDF) :

27 réflexions sur “Partie 3”

        1. Génial Fouzia ! Bravo pour votre engagement sur ce beau chemin de parentalité ! ❤️
          Bien à vous,
          Julie – Equipe Les Supers Parents

  1. Merci a vous super parents et a Mme Isabelle Fillioza , c’est très instructif, ça montre encore une fois que l’éducation ça s’apprend et pour moi c’est une révélation parce que c’est de la même façon que j’ai réussi à traiter le pb avec mon garçon de 8 ans qui avait un cumul de l’école et qui s’est décharger sur moi, il a finit par me faire part de ces frustration après un bon câlin et des pleurs. et du coup je suis fière de moi.
    Merci encore l’équipe
    Ikram et co

    1. Bonjour Ikram,
      Bravo pour votre engagement sur ce beau chemin qu’est la parentalité positive et ce premier succès ! ❤️
      Bien à vous,
      Julie – Equipe Les Supers Parents

    1. Bonjour Sonia,
      Effectivement c’est un sacré apprentissage mais avec les bons outils et bonnes informations tout est plus facile !
      Bien à vous,
      Julie – Equipe Les Supers Parents

  2. Une seule chose à dire: ÉCLAIRANT
    Enfin, j’ai des réponses à donner à mes enfants de 8, 4 et mes 2 jumelles de 2 ans face à leurs crises continuelles dûes aux frustrations quotidiennes. Je lis déjà beaucoup de livres de Mme Filliozat mais là, en quelques minutes, vous avez touché des points essentiels. J’ai hâte d’écouter la suite. Merci à vous Camille et Olivier pour cette riche idée de collaboration avec Isabelle Filliozat.
    Comptez sur moi pour parler de vous à mes amies.
    Bien à vous
    Karine

  3. bonjour! après visionnage de cette vidéo j’ai réalisé que j’avais réglé un problème de ma fille de 6ans 1/2 dû à un besoin intérieur. Tous les midis lorsqu’elle rentre de l’école elle faisait d’énorme colère pour tout et n’importe quoi. Puis une fois elle m’a dit qu’elle avait des soucis avec ses copines. Dès lors à chaque fois que je la récupère je lui demande si tout c’est bien passé et, si il y a eu quelque chose on essais toute les deux de trouver une solution. Reste le problème du petit frère de 3 ans) qui se braque quasiment tous les matins d’école pour se brosser les dents…il à peut- être juste besoin de plus de temps pour lui le matin où anticipe la séparation au moment de l’emmener à l’école!? Tellement de possibilité!!!!!! Ah si seulement il parlait!…..

    1. Bonjour Margot,
      Bravo tout ce que vous avez déjà mis en place !
      C’est sûr que lorsque la parole est là, c’est plus facile ! Parfois le stress des préparatifs provoque le figement pour certains enfants … on a l’impression que ça n’avance pas alors on les pousse un peu et comme on ajoute du stress, ils partent en crise. Prévoir plus de temps peut donc aider vous avez raison.
      Bien à vous,
      Julie – Equipe Les Supers Parents

  4. Merci beaucoup pour vos Videos et conseils. J’ai néanmoins une question: comment réagir lorsque son enfant lance constamment sa nourriture pendant le repas par terre? Je lui explique calmement que l’on ne fait pas ça, que la nourriture doit être mise dans la bouche ou dans l’assiette. Malheureusement mon enfant de 2 ans recommence, je ramasse le morceau par terre et lui redis que la nourriture est pour être mangée. Et il recommence… dépassée par cette situation je l’ai sortie de sa chaise haute et mis par terre. Comment aurais-je dû réagir ? Et ce bien de laisser sortir de table son enfant alors que le repas n’est pas terminé ?

    1. Bonjour Stéphanie,
      L’idée c’est de chercher le besoin caché derrière le comportement. Dans la situation que vous décrivez ça peut-être : l’attention, l’autonomie, la satiété, le jeu, la fatigue, etc…
      Une fois qu’on a identifié le besoin, on y répond et le comportement s’arrête. Par exemple, si l’enfant n’a plus faim mieux vaut lui permettre de sortir de table que d’insister.
      Bien à vous,
      Julie – Equipe Les Supers Parents

  5. Bonjour, merci pour ces vidéos éclairantes !
    Ce sujet est intéressant pour moi, qui ai un petit garçon de 2 ans et 4 mois qui fait beaucoup de colères, tape, tire les cheveux, jette ses jouets et les casse, crie pour s’amuser bien qu’on lui dise d’arrêter… du coup je me demande : est-ce que la solution de « laisser décharger l’enfant sur sa mère pour ne pas qu’il décharge sur les autres » est adaptée à cet âge ? si je le laisse me frapper, quelle image je lui renvoie ? et comment réagir une fois que c’est fait, quoi dire ? qu’il ne faut pas frapper ? alors que je l’ai laissé faire sur moi-même passivement ? je comprends l’idée mais j’ai peur de l’interprétation qu’il en aura… Merci pour votre réponse !

  6. Mon petit garçon a 2 ans. Il me frappe par moments. Quand il est contrarié en général parce que j’ai dit non à quelque chose. Parfois aussi, au milieu d’un jeu, il passe des rires à une contrariété que je ne décrypte pas et paf, la petite claque me tombe dessus. Je ne sais pas comment faire…. Je n’ai jamais frappé mon fils, donc ce n’est pas du mimétisme, en tous cas cela n’est pas une reproduction de ce que sa maman ou son papa fait. Je teste plein de choses : j’explique que je n’aime pas quand il frappe sa maman ; ou bien je lui dis : tu es puni, va dans le petit coin là-bas et tu reviendras quand tu seras calmé ; ou bien je retiens ses mains en les tenant fermement et en répétant calmement : « Doucement, fait doucement avec tes mains… » ce qu’il n’aime pas du tout, car je vois qu’il se sent contraint; ou parfois même je le laisse frapper sans réagir parce que je n’ai plus d’idée.. Vous parlez de rechercher les causes, mais dans mon cas, le déclencheur c’est lorsque je dis « non ». Et il est bien évident que parfois, je dois dire non, ne serait-ce que pour sa sécurité… Je ne vois pas quelles sont les causes sur lesquelles je peux jouer ici…Ca me fend un peu le coeur lorsque je l’isole et que je dis tu es puni. Je lui dis de manière calme, je reste pas loin, je lui apporte sa tutute pour l’aider à se calmer tout seul. Au bout d’un petit moment, il dit : maman, j’ai fini. Alors je lui dis : reviens alors mon chéri. Et on fait un gros câlin… Pouvez-vous m’aider en m’apportant vos suggestions ?

    1. Bonjour Stéphanie,
      Alors évidemment dire oui à tout ou se laisser frapper sans rien dire ne devrait JAMAIS être une option, pas plus que la punition ou l’isolement.
      Quand l’enfant tape c’est parce qu’il est débordé par le stress qui provoque en lui une tension qu’il cherche à libérer par de l’agressivité.
      On a à accompagner l’enfant dans la reconnaissance de ce qui se passe en lui (je suis frustré, en colère, je me sens tout crispé et j’ai envie de frapper et de crier) et on lui donne des clés pour libérer cette énergie qu’il ressent sans taper sur les autres (on tape dans un coussin, on saute, on déchire ou on chiffonne un papier, on va boire un verre d’eau, faire un tour dans le jardin, faire un câlin, etc… ou tout autre outil de libération du stress que vous avez envie de lui transmettre).
      Ce travail de transmission devra se faire en dehors des crises (comme un entrainement) parce que lorsque l’enfant est en crise il ne comprend pas les explications, ni les appels au calme.
      J’espère que ces quelques pistes vous aident.
      Bien à vous,
      Julie – Equipe Les Supers Parents

  7. Ça fait tellement de bien d’entendre ça ! Vous confirmez mon ressenti. Ma fille se décharge de toutes ses émotions intensément depuis qu’elle est toute petite. J’essaye de chaque fois de les recevoir comme je peux mais je suis très souvent jugée… Tu es trop patiente.. tu devrais te fâcher plus… lui mettre des claques. Je sais au fond de moi que de l’aider à accueillir ses émotions ( meme si parfois c’est assez violent ) est la bonne chose à faire. Mais parfois j’ai écouté ces fameux conseils… effectivement elle se figeait… mais était encore plus mal après.. Je vais continuer a l’accompagner dans se cheminement des émotions et l’épauler ! C’est tellement bien de ressentir des émotions !
    Les chats ne font pas des chiens ! Je vis aussi mes émotions à 100 %

    1. Merci pour ce partage d’expérience Sév ! ❤️
      Effectivement pas facile de faire face au regard de l’autre quand on parle d’éducation … ce qui peut aider c’est d’avoir à l’esprit qu’il n’y a aucune recette valable à 100% pour « éduquer » un enfant … autant suivre nos élans du cœur et faire nos propres choix et expériences, c’est l’assurance de ne rien regretter parce qu’on aura été 100% aligné avec ce qui nous parait juste et important.
      Bien à vous,
      Julie – Equipe Les Supers Parents

  8. Bonjour,
    Merci pour toutes ces informations précieuses
    Je voulais réagir par rapport à la dernière partie de la vidéo. Comment réagir face à notre enfant qui « attaque » face au stress en frappant maman , papa ou la petite sœur? Nous pouvons accueillir oui mais nous devons quand même lui faire comprendre que frapper n est pas la solution… moi ça m arrive souvent ces temps ci … et se laisser faire je ne suis pas sûr que cela donne une bonne « image » pour elle.. l impression aussi d être tyrannisée par notre enfant ( sans compter toutes les blessures que cela réveille en nous ). J ai tendance à ne pas savoir réagir et en fonction de mon état de stress à moi , soit je vais crier , soit tenter de lui expliquer ( ce qui amplifié son envie de frapper) , soit poussée aussi par l impulsion du stress lui donné une fessée ( je sais que ce n est du coup pas cohérent… mais complètement démunie face à ce genre de situation..). Ma fille aura 4 ans au mois de mars 2023.

    1. Bonjour Sarah,
      Il n’est évidemment pas DU TOUT question de se laisser frapper par son enfant. On arrête son geste, on le contient et on respire ! On a parfaitement le droit d’être en colère mais pas de frapper (c’est valable pour les enfants et pour les adultes).
      Le principal ici c’est de comprendre ce qui se joue pour lui et de quoi il a besoin : apaiser le stress (et donc l’agressivité). Si je monte en tension, j’entretiens le stress. Si je respire et que je lui donne des clés pour se calmer, j’apaise le stress.
      L’enfant a besoin qu’on lui enseigne comment gérer le stress et ça, ça ne peut se faire qu’en dehors des crises, parce que pendant les crises, le cerveau de l’enfant n’est pas capable de comprendre nos explications et nos appels au calme. C’est un peu comme dans les avions : les hôtesses de l’air nous montre comment utiliser les gilets de sauvetage AVANT le décollage pas pendant le crash. Vous comprenez ?
      J’espère que c’est plus clair pour vous.
      Bien à vous,
      Julie – Equipe Les Supers Parents

  9. C’est extrêmement de comprendre les choses de cette manière aussi simple et comment peut on passer à côté,,?!
    Merci beaucoup de nous éclairer

    1. Contente que ça vous parle Nassima. On espère que ça va vous aider à avancer vers plus de sérénité au quotidien.
      Bien à vous,
      Julie de l’équipe Les Supers Parents

  10. Super vidéo très intéressante (comme les précédentes). Je comprends mieux les réactions excessives de colère de mes filles, surtout la grande. Mais j’avoue que parfois il est difficile de comprendre quelle en est la cause… La grande a 4ans et demi et il n’est pas toujours facile pour elle de s’exprimer réellement véritablement sur ce qu’il se passe, parfois c’est incohérent et semble être imaginé.
    Je suis dans cette démarche de mieux comprendre l’enfant, être à l’écoute, en m’inspirant de personne comme Mme Filiozat mais parfois je me sens vraiment démunie et je réagit à mon tour de façon excessive et le regrette après… Le rôle de parent est difficile mais on s’accroche

    1. Bonjour Alicia,
      Vous avez raison, ça n’est pas toujours simple mais avec les bonnes informations et les bonnes clés de compréhension, c’est tout de suite plus facile.
      Mais c’est vrai que ça passe nécessairement par une phase d’apprentissage… ça n’est pas un programme qu’on télécharge du jour au lendemain.
      Bien à vous,
      Julie de l’équipe Les Supers Parents

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