L’étape délicate de l’arrivée du petit frère ou de la petite soeur

Si pour nous les adultes, devenir « grand frère » ou « grande sœur » ne peut être qu’une joie et une fierté, l’idée de devoir désormais tout partager (l’amour et le temps des parents, les jouets etc.) est au contraire bien souvent une source d’angoisse pour les ainés. Malgré leur impatience de découvrir ce nouveau-né dont ont leur a tant parlé, ils sont souvent déçus face à ce bébé qui « ne sert à rien », qui crie toute la journée, ne sait même pas jouer et accapare l’attention de ses parents.